Et voilà,

« Ok, je veux bien que tu fasses une machine qui dessine sur les murs, mais pas les nôtres » – Mon épouse

« Ok, donc les portes et les vitres c’est bon …  » – Moi plus tard

Donc, première fois que la machine qui dessine sur les murs dessine sur autre chose que du papier pour s’entrainer, avec un enjeu de taille en cas d’échec : dormir sur le tapis pour avoir flingué une porte que Madame avait repeinte.

La planche de « Nausicaa – vallée du vent  » :

• Support : porte de blanche de la chambre d’un de mes enfants
• Stylo : Stabilo noir indélébile (première fois que je l’essayais… un peu idiot comme prise de risque)
• largeur du dessin : 56cm
• 228 mètres de trait
• 12 heures de rendus
• de grosses frayeurs…

Conclusions : 

• Le noir du Stabilo est plus profond que je le pensais : très bien
• J’ai sous-estimé les calculs d’épaisseurs et l’abrasion de la mine sur la porte => donc les traits se sont épaissis beaucoup trop. On perd beaucoup de finesse.
• Un challenge très très riche en expériences… beaucoup d’améliorations à faire.
• Ca claque 🙂